La grandeur politique de l’Angleterre, son génie voyageur, son ambition cosmopolite, devaient, même dans un temps de déclin pour les arts, ouvrir à ses enfants plus d’une source poétique. […] tu étais à mon côté, mes petits enfants sur mes genoux, combien notre barque glisserait joyeuse sur cette mer du Gange ! […] ne pleure pas sur la tombe de tes enfants, Rachel ; ne pleure pas. […] « Ne pleure donc pas sur la tombe de tes enfants, ô Rachel ! […] « Une noble armée, hommes et enfants, la mère et la jeune fille, entourant le trône du Seigneur, triomphent, parés de vêtements de lumière.
Un petit chausson d’un enfant, chausson tout neuf, me raconte toute une histoire. […] Enfin les routes sont pleines d’enfants qui jouent et gaminent, encouragés par le sourire tranquille de leurs parents. […] Dans une petite baignoire d’enfant, à la surface de l’eau vagueuse, d’énormes carpes pressent leurs museaux bleuâtres. […] Par le chemin de ronde, qui va de la Râpée à l’avenue de Vincennes, des bourgeois emmitouflés, des femmes au nez rouge sous leurs voiles, traînant des enfants renifleurs : hommes, femmes, enfants interrogeant l’horizon. […] Des femmes, des enfants les entourent, leur tenant compagnie jusqu’à la dernière heure.