Les actes de la vie publique des souverains, leurs mariages, les naissances et les morts de leurs enfants, leurs fêtes, leurs plaisirs, et tout ce que la ville imitait des mœurs de la cour, telle en est la principale matière.
Celui d’arracher un enfant de famille à un arrêt rigoureux qui le flétriroit & qui déshonoreroit sa famille ; celui de punir un étourdi qui a besoin d’une pareille correction pour rentrer en lui-même, & pour faire de sérieuses réflexions. […] Mais vous avouerez que des breloques à la douzaine, que des boucles presqu’à diamans, qu’un habit à fracas, ne doivent pas être le partage d’un enfant trouvé… Il est commis….