Très naturellement, puisqu’elle était contemporaine du grand mouvement positiviste qui, vers le temps du second Empire, emporta toute la pensée française.
Une sécrétion qui n’est en jeu qu’à certains intervalles, qui ne s’éveille, chez les animaux, que sous l’empire, sous l’excitation de l’acte digestif, qui diminue par le jeûne, et s’éteint par une abstinence prolongée ou par les maladies, s’écartait trop manifestement du mode général des sécrétions physiologiques, pour ne pas élever de doutes sur sa réalité.