À la fin du second empire, Lemercier de Neuville cherchait à gagner le pain de sa famille dans ce qu’on appelait alors la petite presse.
« C’est, dit-il lui-même, sous l’empire de l’idée que la pratique des arts manuels devait me conduire à un rôle pressenti, qu’à onze ans et demi je commençai à travailler le fer dans l’atelier de mon père et à prendre une part au-dessus de mes forces dans les travaux de la campagne, à côté de mes parents54. » Voilà le point de départ.