Cependant, malgré toutes les belles pièces que j’ai distinguées dans Lazare, et le nombre de celles que je viens d’analyser équivaut à la moitié du poème, je ne puis m’empêcher de préférer le Pianto à Lazare.
La production effrénée de Balzac empêcha nombre de critiques de considérer son œuvre sous le point de vue de l’art.