Ceux qui nous reprocheroient d’avoir tiré cet Auteur de l’oubli, ne sentiroient pas assez la reconnoissance qu’on doit à ceux qui ont fait les premiers efforts pour percer les ténebres de l’ignorance.
Quoique de tels efforts, s’ils étaient suivis avec constance, soient de ceux qu’il y a presque obligation à favoriser, et quoique l’auteur de Christine ait paru un moment vouloir les poursuivre, nous croyons que c’est au théâtre surtout que l’effort ne doit point paraître trop prolongé.