ait produit un livre d’un effet si puissamment doux.
Mais, quelles que soient la force de la raison de l’historien et la justice de sa raillerie quand il s’agit d’un pays où les pantalonnades se jouent dans le sang et où le Congo de la barbarie se mêle au Congo de la civilisation, — car on y vénère également des fétiches, des serpents, des journaux et des constitutions démocratiques, — Gustave d’Alaux nous fait toujours l’effet, en peignant le chef de ce monde noir qui le résume si bien dans tous les détails de sa personne, d’un artiste croquant un bourgeois.