Paul Leclercq : La Vieille à l’Araignée, comme il convenait, n’est pas du tout dans le style des autres contes ; au lieu des images somptueuses et vagues, arbres en fleurs, joyaux de lumières, eaux transparentes et mobiles, on distinguerait un effort vers le trait précis, presque dur, de M.
Monsieur Le Bel, en bonne foi, sont-ce là des eaux ?