Le drame nous occupait plus que la musique, et la mort tragique de nos cousins, nous impressionnait si vivement, qu’il fallait nous conduire dans leurs loges, derrière la scène, pour que nous puissions nous convaincre, en les embrassant, qu’ils n’étaient pas morts pour de bon.
Après nos fièvres et nos élans, nos comédies et nos drames, nous voici plongés dans l’engourdissement annonciateur des déclins.