Il n’en est pas ainsi de sa Comédie de Grégoire, où l’esprit est égayé par de très-bonnes plaisanteries, & qui a été imitée dans la suite par plusieurs Poëtes dramatiques.
Rien de plus poétique, rien de plus dramatique, quand on songe que les Rimes maladives d’Alfred Béjot ne sont pas la forme fantaisiste d’une fiction cérébrale, un symbole d’une âme seulement douloureuse, mais qu’elles constituent le testament authentique d’un jeune écrivain mort plein d’avenir, à trente ans.