Ils charmaient les travaux des longues journées par de doux entretiens, par les récits de la patrie absente. » Voilà l’idéal heureux d’Halévy, son Décaméron de l’Art. […] C’était par une douce journée de l’automne de 1856.
cela me donne envie d’aimer d’autant plus Paris, quand je vois ceux qui le maudissent commettre de telles fautes de goût, de bienséance, et, boutade pour boutade, je m’écrie à l’encontre : « Paris, ville de lumière, d’élégance et de facilité, c’est chez toi qu’il est doux de vivre, c’est chez toi que je veux mourir ! […] C’est chez toi qu’il est doux de vivre, c’est chez toi que je veux mourir !