L’abbé l’apprend, s’écrie : « Mon doux Jésus ! […] Pourquoi ne serait-il pas idyllique, honnête et doux ? […] La douce Terre leur insinue sa douceur. […] Cela parle au cœur de paix bourgeoise, de bien-être modeste, de vie douce et familiale. […] Ainsi, d’une croyance enfantine, s’était dégagée avec le temps une très douce et très pure sagesse.
Sur un des côtés s’étendait un divan, bien connu des propriétaires du voisinage, un large divan, très doux, très confortable et garni d’une quantité de coussins. […] lui demanda-t-elle en levant sur lui ses yeux doux et calmes. […] Moi, je me dis : Dieu t’a fait rencontrer une douce et honnête créature, ne rejette pas ce don providentiel, ne t’abandonne pas à de vaines fantaisies. […] Cependant il la regardait encore avec plaisir, et chaque fois que de son pied léger elle passait près de lui, il lui baisait la main, ce qui ne manquait jamais de faire éclore sur les lèvres de la jeune femme un doux sourire. […] Elle est douce, modeste, laborieuse… Mais vous savez, Gabriel Andréitch… vous savez… cet affreux portier, cette espèce de monstre marin !