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434. (1913) Les livres du Temps. Première série pp. -406

Invisible et présente, la substance divine pense éternellement l’univers, qu’elle crée, sans but et sans fin. L’art ne fait qu’imiter cette divine contemplation. […] Il implorait, en 1870, la miséricorde divine « pour tant de deuil sur noire France ». […] C’est un Alceste mystique, qui juge toutes choses par rapporta la perfection divine. […] Tel est le mystère de l’amour divin.

435. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — P — Ponchon, Raoul (1848-1937) »

Une sérénité divine, pour ainsi parler, règne dans ses Chroniques rimées et solides de nombre et de son, d’un si savoureux beau français qui donne comme l’impression du faire robuste et râblé de maître Nicolas Boileau-Despréaux.

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