Nous ne détaillerons point les beautés du style, celles de l’économie théâtrale ; tout est parfait, divin, et au point qu’on craint de proférer un blasphème, en osant parler des légères taches qu’une sévérité scrupuleuse pourrait peut-être y découvrir.
Et celui qui conduit cette danse, plus macabre que l’autre, c’est l’enfant divin, l’Amour, volupté des hommes et des dieux !