Et Spinoza voulait que la série des phénomènes, qui prend pour nous la forme d’une succession dans le temps, fût équivalente, dans l’absolu, à l’unité divine : il supposait ainsi, d’une part, que le rapport de causalité apparente entre les phénomènes se ramenait à un rapport d’identité dans l’absolu, et, d’autre part, que la durée indéfinie des choses tenait tout entière dans un moment unique, qui est l’éternité.
Non, c’est parce que j’y vois luire, par éclairs, le feu divin de l’âme… Je ne sais pas ce qu’il adviendra de cette force qui est en vous. […] » Quelle stupeur parmi ces employés, pourtant favorables au mystère, aux échanges les plus secrets, mais que ne hantaient jamais des préoccupations d’ordre divin !