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1020. (1829) Tableau de la littérature du moyen âge pp. 1-332

quel orgueil s’est emparé de votre cœur, et quelle est votre folie de ne vouloir point de paix avec vos voisins, et de braver les lois divines, en protégeant les ennemis de la foi ! […] Tacite, opposant la simplicité de ces peuples aux vices de Rome, nous dit qu’ils croyaient trouver dans les femmes quelque chose de prophétique et de divin : Inesse quin etiam fœminis sanctum aliquid et providum putant. […] Il résout ainsi le problème souvent agité de l’invention humaine, ou de la transmission divine du langage : il reconnaît l’hébreu pour l’idiome originel et donné de Dieu.

1021. (1864) Portraits littéraires. Tome III (nouv. éd.) « Benjamin Constant et madame de Charrière »

Sur mon grabat je célébrais Glycère, Le jus divin d’un vin mousseux ou grec, Buvant de l’eau dans un vieux pot à bière. […] Cela me rappelle un psaume143 où on célèbre tous les hauts faits du Dieu juif : il a tué tels et tels, dit-on, car sa divine bonté dure à perpétuité ; il a noyé Pharaon et son armée, car sa divine bonté dure à perpétuité ; il a frappé d’Égypte les premiers-nés, car sa divine bonté, etc., etc., etc. […] Adieu, divine personne. » (Note de M. 

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