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1785. (1895) Les mercredis d’un critique, 1894 pp. 3-382

Divisé en trois parties, ce discours nous montre le saint non seulement comme continuateur de Jésus-Christ et comme martyr, mais aussi comme apôtre de la joie, suivant ainsi le précepte de l’Ecclésiaste : « Et j’ai compris qu’en cette vie, il n’y a rien de mieux à faire que d’être joyeux et de faire le bien.

1786. (1836) Portraits littéraires. Tome I pp. 1-388

I. Henry Fielding. 1832[1832.] Henry Fielding n’est guère connu en France que par une mauvaise imitation de Tom Jones, publiée en 1750 par Laplace, et précédée d’une lettre burlesque adressée à l’auteur par le traducteur. Entre autres choses curieuses et dignes d’être méditées, on y lit en toutes lettres que si Henry Fielding avait eu le bonheur d’écrire pour le peuple le plus spirituel de la terre, il n’aurait pas manqué de supprimer dans son livre tous les passages de mauvais goût que son judicieux imitateur a fait disparaître.

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