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1755. (1878) Leçons sur les phénomènes de la vie communs aux animaux et aux végétaux. Tome I (2e éd.)

Le professeur Ludwig a prononcé, à l’époque où il ouvrit son laboratoire, un discours dans lequel il insistait sur l’utilité des travaux pratiques d’expérimentation pour lesquels il est richement doté ; Dubois-Reymond, Kühne, Czermack, se sont tous exprimés dans le même sens, et moi-même je ne suis ici que l’écho du mouvement physiologique qui partout se produit9. […] Les vraies définitions ne sont en réalité, dit-il, que des définitions de noms, c’est-à-dire l’imposition d’un nom à des objets créés par l’esprit dans le but d’abréger le discours. […] On les emploie sans confusion dans le discours, parce que les hommes en ont une intelligence suffisante et une idée assez claire pour ne pas se tromper sur la chose désignée, si obscure que puisse être l’idée de cette chose considérée dans son essence.

1756. (1910) Victor-Marie, comte Hugo pp. 4-265

À moi, Comte, deux mots. Solvuntur objecta Victor-Marie, comte Hugo Solvuntur objecta. — J’ai mis dans mon cahier que l’affaire Dreyfus avait un virus propre, qu’il y avait dans cette affaire, dans le tissu même de cette affaire un certain virus propre. Je viens de l’éprouver beaucoup plus que je ne m’y attendais. Beaucoup plus aussi et surtout que je ne l’eusse voulu.

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