Tandis que Claudel et Gasquet ont écrit des poèmes de guerre dignes de ce qu’ils avaient déjà fait de plus beau, Valéry a été poussé par la guerre même à rêver au son du canon un Divan oriental-occidental, pris dans le cercle et les froides pierres de l’Hérodiade mallarméenne, une épure étoilée de poésie essentielle.
Avant lui, Platon45, Xénophon avaient dit de même ; l’expression était entrée dans la langue commune des Athéniens, bien digne d’un peuple artiste.