. — Et par cette raison, d’autant plus étonnant, et son ouvrage d’autant plus digne d’admiration.
Son poëme est comme un parc monarchique, digne et nivelé sans doute, mais arrangé pour le plaisir des yeux et rempli de points de vue choisis. […] La vraisemblance n’est pas bien gardée ; il y a des déguisements mal arrangés, des folies mal simulées, des mariages de paravent, des attaques de brigands dignes de l’opéra-comique.