Mais il était difficile de faire de l’ancien et si dévoué serviteur de Napoléon jusqu’en 1813 un royaliste de bonne qualité, et Frochot lui-même, avec sa probité et sa droiture, prétendait bien, dans cette triste affaire Malet, avoir été dupe, rien que dupe, et pas autre chose.
La touche littéraire est là, et, s’il semble difficile de ne pas la forcer parfois dans l’indignation qu’on ressent, on n’a que plus d’honneur à maintenir cette modération, quand la fermeté s’y mêle.