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897. (1868) Nouveaux lundis. Tome X « De la poésie en 1865. (suite.) »

La première pièce est adressée à Barthélémy, dont Veyrat avait fait de loin, faute de le connaître, son oracle et son dieu : Je ne t’ai jamais vu ; mais ta voix de poëte A retenti longtemps au fond de ma retraite ; Mais dans mon cœur froissé par un maître inhumain, Je nourris un serpent échappé de ta main : J’ai voué les tyrans à toutes les furies !

898. (1869) Nouveaux lundis. Tome XI « Œuvres choisies de Charles Loyson, publiées par M. Émile Grimaud »

Quel secourable dieu du ténébreux séjour    Ramène mon ombre égarée ?

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