Mais son succès (sans contradicteurs de son vivant) ajoute à son bonheur, — au bonheur littéraire d’un homme qu’on pourrait appeler le Polycrate, tyran de Samos, de la littérature… Le succès des IIIe et IVe volumes de La Légende des Siècles, quand ils parurent, sembla compléter sa destinée. […] Victor Hugo était, sans les lamentables déraillements de sa vie, destiné à nous donner un poème épique, cette grande chose militaire qui manque à la France, à qui pourtant les hommes épiques comme Charlemagne et Napoléon n’ont pas manqué. […] un poème épique… Être le poète épique de la France, telle était pour moi, et j’y reviens malgré moi, la vraie destinée de Victor Hugo ! et dès longtemps je voulus le rappeler à cette haute destinée.
il a bien pu ajouter dans une note destinée à éclaircir ces Vers : « Il y a, en effet, un Abbé nommé François, des Ouvrages duquel le fleuvé Léthé s’est chargé entiérement.