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2068. (1866) Histoire de la littérature anglaise (2e éd. revue et augmentée) « Livre II. La Renaissance. — Chapitre II. Le théâtre. » pp. 2-96

C’est l’amour irrésistible, qui tombe sur eux, l’amour antique de Pasiphaé ou de Myrrha, sorte de folie qui ressemble à un enchantement, et sous lequel toute volonté plie. « Perdu, je suis perdu, dit Giovani, ma destinée m’a condamné à mort65. —  Plus je lutte, et plus j’aime ; et plus j’aime, —  moins j’espère ; je vois ma ruine sûre. —  J’ai vainement fatigué le ciel de prières, —  épuisé la source de mes larmes continuelles, —  desséché mes veines de jeûnes assidus.

2069. (1899) La parade littéraire (articles de La Plume, 1898-1899) pp. 300-117

Quelques-uns de ses grands morceaux lyriques comme la Pitié, le Pauvre, le Retour des Bergers, les Soldats, les Prêtres ou la Grande Plainte — qui semble inspirée de certaines prosopopées socialistes de Zola — toutes ces pièces sont destinées au plus grand retentissement.

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