le premier degré où doit viser la connaissance humaine, un échelon tout au plus au-dessus duquel il faut gravir pour vous conformer à ces lois éternelles entrevues par Platon, fixées par une théodicée plus sublime, et qui sollicitent l’essor de notre intelligence vers un idéal qui n’est pas de ce monde.
II En effet, ce que la Révolution eut de terrible ne l’élève pas pour cela d’un degré de plus dans l’estime des hommes.