Il y a, en effet, chez la femme, un besoin naturel de dévouement qui empêche la misanthropie de se développer à l’état aigu, si je puis dire ; mais la misanthropie n’en existe pas moins dans certains cœurs féminins, qui sont des cœurs d’élite, seulement elle se dissimule sous une tristesse souriante qui peut donner le change.
Il se mit à l’œuvre ardemment, avec cette agilité d’esprit que développe la pratique du journalisme quotidien. […] L’individualisme développé au point où nous le voyons est un mal dangereux.