III En 1778, Hokousaï, alors dit Tétsouzô, abandonne son métier de graveur, ne consent plus à être l’interprète, le traducteur du talent d’un autre, est pris du désir d’inventer, de composer, de donner une forme personnelle à ses imaginations, a l’ambition de devenir un peintre.
Cette doctrine soutient que les phénomènes de l’âme, comme tous les phénomènes de l’univers, sont rigoureusement déterminés par la série des phénomènes antécédents, inclinations, jugements, pensées, désirs, prévalence du plus fort motif, par lesquels l’âme est entraînée.