Un de mes défauts est d’être renfermé en moi-même et de ne m’être jamais montré à qui que ce soit. […] En les quittant, je trouvais Chateaubriand assis devant sa fenêtre, regardant le soleil, ne pouvant marcher, et ne se plaignant qu’à peine et doucement de son esclavage… J’ai dit les défauts, je n’ai pas voulu taire le charme.
Un autre défaut de cette édition, et un défaut grave, c’est de manquer de cartes stratégiques et de plans des lieux, ce qui rend la lecture de ces campagnes fastidieuse et stérile pour la plupart des lecteurs.