Certains zélateurs de Baudelaire n’apprécient guère que ses défauts, et méconnaissent ce qu’il y a de plus solide dans son œuvre mêlée.
Et quant aux jeunes journaliers, leur état donne des espérances pareilles : ils ne peuvent trouver d’ouvrage, et par conséquent languissent par défaut de nourriture, tellement que si en quelques occasions on les loue par hasard comme manœuvres, ils n’ont pas la force d’achever leur travail.