/ 1798
477. (1818) Essai sur les institutions sociales « Chapitre premier. Considérations préliminaires » pp. 17-40

Mais ne raisonnons point d’après ce qui se passe en Asie ; les passions humaines existent partout : là elles s’épuisent sur des individus, ailleurs c’est sur les choses ; toujours les hommes périssent. […] Nos pères avaient, à mon avis, plus de respect pour les nations : tout à fait dans les temps anciens les rois étaient de race divine ; dans les temps modernes on a cru, d’après l’autorité de l’Écriture sainte, que Dieu lui-même se mêlait de choisir les princes des peuples : il y avait alors une religion sociale ; un roi n’était pas traîné à l’échafaud par ses propres sujets ; il ne tombait pas du trône à la présence d’un chef de bande : la royauté avait ses martyrs, et la patrie ne périssait jamais : le roi était la patrie devenue sensible ; la royauté était une des libertés de la nation, et la plus importante de toutes.

478. (1878) Leçons sur les phénomènes de la vie communs aux animaux et aux végétaux. Tome I (2e éd.)

D’après les idées de Bichat, au contraire, la vie est partout, et nulle part en particulier. […] D’après le traducteur d’Herbert Spencer, M.  […] C’est, d’après M.  […] D’après M.  […] Il faudrait distinguer, d’après M. 

/ 1798