Ailleurs, il peint Lamartine, ou plutôt il commente un portrait de Lamartine, une aquarelle de Cazals, représentant le poète droit et digne, dans sa posture habituelle, dressant le buste et levant la tête : Lamartine, selon Cazals et selon moi, D’après une gravure un peu contemporaine, Érige un buste noir et souple que refrène La redingote stricte et noble de l’emploi.
Puis c’est encore au café-concert que l’aimable animal qui, d’après un vers célèbre, sommeille dans le cœur de tout homme, est le plus sûr d’avoir des occasions de s’étirer.