La pièce reste précieuse, d’ailleurs, par les nombreuses particularités qu’elle renferme et auxquelles il ne manque que d’avoir été employées dans un esprit un peu plus doux et plus fraternel2. […] Michaud, l’auteur, d’ailleurs peu poétique, du Printemps d’un proscrit.
Les affaires, d’ailleurs, l’occupèrent bientôt entièrement : il y déployait beaucoup de capacité. […] Il y avait, d’ailleurs, quelques belles pensées, mais rendues dans une langue gênée et contrainte : « À chaque instant le bien public, disait-il, lui demande le sacrifice de son intérêt, de ses affections et même de sa gloire.