Et efficaces aussi, les recours innombrables à la Chronique médicale, la curieuse revue en laquelle M. le Dr Cabanès — qui nous fut d’ailleurs personnellement favorable — répand des trésors d’érudition.
Quand les pelotons de votre strophe défilent en grande tenue de parade, je l’entends toujours le fifre aigu, là-bas, en tête du régiment : Le fifre siffle, siffle le fifre, comme vous dites dans une gentille onomatopée ; et voici que je me souviens aussi du curieux vers de Victor Hugo : Les dentelles de son que le fifre découpe.