Je ne le pense pas, et aucun de ceux qui ont quelque peu connaissance de son œuvre ne seront, je le crois, tentés de le contester. […] vous me croyez bien vulgaire, n’est-ce pas ? […] Vous croyez à l’histoire, et vous doutez de la vie ! […] Son moindre tort est de faire croire à un malheur de plus. […] Vous m’auriez fait croire, Marie, que je ne vous aimais pas !
Le croiriez-vous ? […] Je ne crois pas commettre de pléonasme en m’exprimant ainsi. […] Espère-il sérieusement faire croire cela ? […] je crois que j’ai fait du tapage ! […] Je ne serais pas éloigné de le croire.