Je ne crois pas qu’il soit de la dignité de monsieur le directeur… […] Je crois à votre repentir et je vous pardonne. […] Croyez que je suis heureux, oui certes, très heureux… […] Je crois pourtant que ma vieille mère a dans un tiroir… (À part.)
Là repose toute la science du Verbe ; mais je ne suis guère disposé à croire avec lui que l’on puisse apprendre à créer des images ; à les recomposer, à les arranger, je ne dis pas. […] Le chapitre qui a si fort irrité ce jeune critique se réduit à une modeste démonstration que je crois très acceptable. […] Cela signifie, en propres termes, qu’on trouve d’abord des images quand on a du talent ou du génie, ce qui est, je crois, faire la part assez belle à la spontanéité et à l’inspiration. « On les découvre, déclarons-nous ensuite, par inspiration ou à tête reposée », autrement dit par l’effort, la réflexion et le travail ajoutés au talent naturel. […] Quand, enfin, j’aurai rappelé que je conseille « de songer aux divers rapports que peuvent présenter les objets, aux idées à côté qu’ils évoquent, aux ressemblances, aux contrastes, aux antithèses, en recommandant d’étudier les métaphores des auteurs », je crois que j’aurai à peu près énuméré tous mes crimes.