C’est un de ces passages que dans la critique des textes anciens on appellerait désespéré, et qui ferait dire à Mme de Sévigné : J’en donne ma langue aux chiens.
Il rend compte également, par l’appréhension délicate d’une sensibilité affinée, soucieuse de ne se point repaître de chimères, de l’apparition d’une science plus circonspecte, dont le but est de vérifier la solidité des matériaux qui furent employés à construire ; ce souci a donné naissance à l’étude critique des facultés mentales.