Et son nom, et les circonstances, et son sexe, et le charme navrant de quelques vers heureux, quand il s’agit d’exprimer la fatalité de l’amour, n’ont-ils pas fait illusion même à la Critique, même à ceux que rien ne devrait égarer ? […] En les prenant sans les choisir dans le recueil, et sans les rapporter au titre de chaque livre, les pièces que la Critique pourrait signaler sont nombreuses.
Si la Critique, comme je l’entends du moins, n’était pas plus haute que la sensation, le sentiment et tous les genres de critiques de ce temps matérialiste, sentimentalement niais et individuel, le livre, je l’avoue, aurait passé avec moi un mauvais quart d’heure.