Michelet a merveilleusement analysé tout cela, en l’exagérant un peu, comme les critiques philosophes, mais le fond est vrai et les couleurs authentiques.
Cette bonté de cœur ne s’est point fait jour tout de suite ; le tempérament premier de Victor Hugo était violent et passionné ; ses toutes premières œuvres ne peignent que lutte, coups d’épée, chocs de toutes sortes, y compris les chocs des rimes et des couleurs.