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1980. (1896) Hokousaï. L’art japonais au XVIIIe siècle pp. 5-298

Le prix convenu de ce curieux historique de la vie japonaise était de 150 rios d’or (le rio d’or vaut une livre sterling). […] Et, quand Hokousaï livra ces rouleaux, le capitaine, très enchanté, lui remit l’argent convenu, mais le médecin, sous prétexte qu’il avait un traitement inférieur à celui du capitaine, ne voulut payer que la moitié du prix. […] Il est donc convenu que la mère laissera la porte du jardin ouverte, la nuit ; et, dans l’ambition de ce puissant mariage, elle arrive à décider sa fille, qui n’aime pas du tout ce jeune homme, à le recevoir. […] Le quinzième et dernier volume paraît en 1878 avec un avertissement où l’éditeur dit que « propriétaire de tous les bois de la Mangwa, il a été convenu avec Hokousaï, avant sa mort, qu’on poursuivrait jusqu’au quinzième volume, et qu’il a fait graver les dessins destinés à la publication, qui ne l’étaient pas ». […] il est convenu d’avance que ce sera Yegawa qui gravera le livre.

1981. (1903) Hommes et idées du XIXe siècle

Si par hasard la liberté n’avait pas existé à la veille du 18 Brumaire, il faudrait donc convenir que Bonaparte ou tout autre était dans l’impossibilité matérielle de la détruire. […] Cette formule convient à ses romans mêmes, à Delphine, à Corinne ; elle s’applique mieux encore au livre De la littérature. […] On convient que ce n’est pas un crime pareil aux autres, et que le meurtrier par amour ne saurait être confondu dans la foule des meurtriers. […] C’est bien la conversion par la pénitence et l’eucharistie, non les variations d’une religiosité quelconque, mais les chants d’une âme qui retourne vers les bras ouverts de l’Église. » Désormais il demeura convenu que Verlaine avait trouvé d’instinct cette poésie mystique et symboliste à laquelle aspiraient les plus jeunes de ses contemporains, que de son œuvre datait une ère nouvelle dans l’histoire de notre poésie, et que, grâce à lui, cette poésie s’en allait retrouver une fraîcheur, une fécondité toute neuve. […] À cause, à cause, d’une femme… » C’est la part de Verlaine, et il convient de la lui laisser. l’art tout à fait stérile d’ailleurs, maigre et pâle floraison qui s’attarde sur un arbre mort.

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