Il dépend de ses ennemis, il leur doit quelque chose puisque c’est grâce à eux qu’il peut continuer à vivre, mais il serait excessif d’affirmer qu’il est ou qu’il doit leur être absolument et sans aucune réserve, dévoué en tout et pour tout.
Déjà les partitions de Lulli et des compositeurs contemporains témoignent du déplacement du chant ; la mélodie a passé aux violons et aux flûtes, on prend donc la peine de la transcrire ; les parties intermédiaires continuent à être négligées, et la basse chiffrée, acceptant la seconde place, prend le caractère déterminé d’un accompagnement.