On ne peut les chasser des Mémoires contemporains ; ils y sont partout, et c’est leur droit d’y être. […] ce qui fait surtout le danger d’un livre, c’est le dogmatisme de l’erreur ou la caresse à la passion contemporaine, qu’on redouble en la caressant.
À la première vue, il a une physionomie grandiose et une ride austère qui étonne, et qui semble accuser en lui et en ses contemporains une race plus forte que celle d’aujourd’hui.