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323. (1782) Plan d’une université pour le gouvernement de Russie ou d’une éducation publique dans toutes les sciences « Plan d’une université, pour, le gouvernement de Russie, ou, d’une éducation publique dans toutes les sciences — Seconde faculté d’une Université. Faculté de médecine. » pp. 497-505

Je considère un mauvais médecin comme une petite épidémie qui dure tant qu’il vit ; deux mauvais médecins doublent cette maladie populaire ; un corps de mauvais médecins serait une grande plaie pour toute une nation. […] Le cours se fermera toujours par un discours, prononcé alternativement par un des professeurs, sur l’importance de l’art, ses progrès et son histoire, le caractère et les devoirs du vrai médecin, l’incertitude et la certitude des signes de la mort, et la médecine légale considérée par ses rapports avec les lois, tels que les signes de la mort violente ou le suicide, les naissances tardives, etc., etc.

324. (1927) André Gide pp. 8-126

Il ne considère point les choses littéraires sub specie æternitatis. […] » On considérera peut-être les principes de M.  […] On devine si Julius le considère comme un original. […] Ou bien est-ce décidément une erreur, et doit-on considérer à part l’œuvre, qui peut rester intéressante, alors même qu’on aurait à se plaindre des actes personnels de l’auteur ? […] André Gide une apologie de l’assassinat, même désintéressé et considéré, avec Thomas de Quincey, comme l’un des beaux-arts.

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