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1823. (1885) Les étapes d’un naturaliste : impressions et critiques pp. -302

Cet évêque, l’un des premiers partisans des libertés populaires, fidèle à sa foi et à ses promesses, avait refusé un serment qui répugnait à sa conscience ; il était en exil4 ! […] Et je me permets de le dire en passant, de tous ces traîtres à la patrie — ce grand mot n’est pas de moi et je le tiens pour quelque peu exagéré, les seuls vraiment excusables sont encore les Ligueurs et Coligny qui, de bonne foi et dans des camps opposés, se battaient pour la plus sacrée de toutes les libertés, la liberté de leur conscience.

1824. (1890) Journal des Goncourt. Tome IV (1870-1871) « Année 1870 » pp. 3-176

Mon frère était condamné à mort, pour une cause dont je n’avais pas la conscience bien exacte dans mon rêve.

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