/ 1826
612. (1859) Essais sur le génie de Pindare et sur la poésie lyrique « Première partie. — Chapitre X. »

Xercès a tout conduit follement pour ses flottes. […] celui-là ne perdit pas les hommes dans le désastre d’une guerre meurtrière ; et il fut nommé par les Perses le confident des dieux ; et il était lui-même bien conseillé par les dieux, puisqu’il conduisait heureusement notre armée. — ô seigneur antique, ô Baal !

613. (1876) Chroniques parisiennes (1843-1845) « XIX » pp. 76-83

Sue partout où il vous conduit : c’est pour le bon motif ; la fin justifie le lieu.

/ 1826