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1823. (1893) Des réputations littéraires. Essais de morale et d’histoire. Première série

Mais nous aurons travaillé à avancer la manière d’envisager les choses, nous aurons conduit l’avenir à n’avoir pas besoin de nous lire… Notre immortalité consiste à insérer dans le mouvement de l’esprit un élément qui ne périra pas. […] Rotrou a du talent ; Hardy est le plus mauvais écrivain de toute la littérature française : mais, dans l’évolution qui conduit notre tragédie de l’auteur de Cléopâtre à ceux de Polyeucte et de Saint-Genest, Hardy est un anneau nécessaire de la chaîne ; Rotrou n’est que la doublure de Corneille.

1824. (1902) Symbolistes et décadents pp. 7-402

Heureusement que la sensibilité du poète le conduit, malgré un dessein arrêté de terre à terre, de terre à terre de terroir, à plus d’émotion, et voici dans les Émaux Bressans une pièce qui élève singulièrement le volume, une pièce d’anthologie, au meilleur sens du mot : la Pauvre Lise : c’est rustique, c’est familier, c’est éloquent, c’est sobre, c’est de la beauté simple.

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