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662. (1889) Écrivains francisés. Dickens, Heine, Tourguénef, Poe, Dostoïewski, Tolstoï « Th. Dostoïewski »

L’ivrognerie et le crime happent les affamés ; et Marmeladoff ayant, dans sa faiblesse, ruiné les siens et prostitué sa fille, a l’horrible et inconscient cynisme de parler, quand il implore la pitié d’étrangers, de la « propreté » qui est nécessaire à Sonia dans son métier : et c’est obsédé par la pauvreté, craignant pour sa sœur et l’âme blessée de l’amer orgueil des privations, que Raskolnikoff conçoit et résout un misérable crime. […] Enfin, qu’une sensibilité vive soit accompagnée d’émotions vives aussi, comme cela est coutumier, et l’exubérante pitié de Dostoïewski s’expliquera, si l’on conçoit, jointes en son âme, la conception de vie que nous avons dite, et une sorte de bonté rêveuse qui semble douer la race slave.

663. (1765) Essais sur la peinture pour faire suite au salon de 1765 « Paragraphe sur la composition ou j’espère que j’en parlerai » pp. 54-69

S’ils y avaient réfléchi, ils auraient conçu qu’un aigle n’est pas le modèle commun d’une institution générale. […] La principale idée bien conçue doit exercer son despotisme sur toutes les autres.

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