Molière conçut pour elle l’affection d’un père, mais aussi la passion d’un mari. […] XVIII On conçoit les infortunes d’un homme trop sensible, tiraillé entre le remords de son ingratitude pour la mère et son amour délirant pour la fille. […] Oui, j’ai conçu pour elle une effroyable haine. […] Avec un mal de tête étrange à concevoir.
Persistance, chez cet homme, de la magie du vocable, qui devait le conduire à concevoir une poésie symphonique, s’opposant à l’ancien lyrisme. […] Car nous concevons une œuvre où s’assembleront enfin tous les êtres, apparaissant dans leur stricte morphologie, chantant ces dieux à leur image, qu’ils rêvent assurément. […] Un biologiste y verrait assurément un sujet d’étude ; un philosophe, méditant dans la mansuétude de ses abstractions, y constaterait, sans ironie, un phénomène aussi normal que les périodiques migrations des peuplades volatiles (hirondelles ou cigognes) ; mais ce poète visionnaire et romantique, qui s’émeut de sensations instantanées, en a conçu la plus émouvante et la plus tragique des Fresques-Épopées. […] On conçoit qu’avec une telle compréhension de l’Art Civique, M.