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2771. (1774) Correspondance générale

Je comprends, vous m’auriez chargé d’injures ; vous m’auriez fermé votre porte, et l’on a voulu vous épargner un procédé qui m’aurait affligé et dont vous auriez eu à rougir. […] Pour faire comprendre ce dernier trait, il suffit de rappeler que Desessarts avait été procureur avant d’être comédien.

2772. (1782) Essai sur les règnes de Claude et de Néron et sur la vie et les écrits de Sénèque pour servir d’introduction à la lecture de ce philosophe (1778-1782) « Essai, sur les règnes, de Claude et de Néron. Livre second » pp. 200-409

On ne comprend guère ni comment des hommes célèbres chez les Anciens ont avancé d’aussi étranges paradoxes, ni comment ils ont été renouvelés de nos jours par des hommes non moins célèbres ; mais, à la honte de la raison humaine, ce qu’on ne conçoit point du tout, c’est comment ces sophistes n’ont jamais été solidement réfutés. […] Les principes mathématiques de Newton et les Trecenta de Stahl380 sont bien autrement difficiles à comprendre, même pour les gens de l’art ; et s’il était permis de comparer une très-petite chose à une très-grande, on oserait assurer que Buffon sera souvent lettre close pour celui qui n’entend pas l’Interprétation de la Nature.

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