Nous nous servirons, pour faire comprendre cette perfection des vers homériques, de la traduction d’un de nos savants amis, M.
Homère domine la seconde, qui comprend les ouvrages français, italiens, espagnols, etc. […] Ce roman est compris dans les études poétiques de la dernière partie : on y retrouve tout le talent qu’on aime dans Atala.