Au reste, Séméia ne voit point le détail de son corps, ni les membres divers qui le composent ; elle n’en voit que l’ensemble qui est l’expression d’une âme, et sans lequel elle ne saurait concevoir une vie, surhumaine ou non.
Mais parce que les vingt-quatre colonnes du Journal ne suffiraient pas à contenir les cent vingt-huit questions — d’ailleurs joyeusement scientistes — qui composent ce monumental morceau.